Kalouban / Mandarine + Guests / Marie-Claude Lambert Philéas
Vendredi 2 août - à partir de 19h

Kalouban / Mandarine + Guests / Marie-Claude Lambert Philéas

Acheter en ligne : GRATUIT
Maloya Rock / Pop Rock / Maloya Podium Opus - Centre-ville de Saint-Paul (devant La Cerise)

Kalouban

Miguy Pétrel, qui fut notamment la choriste de Ziskakan et de Baster, est entourée dans ce projet tout neuf d’une équipe de talentueux tontons, une bande d’amis musiciens qui se croisent sur les scènes réunionnaises depuis 30 ans. Ces six-là ont accompagné les plus grands noms du maloya rock et du maloya fusion et, avec Kalouban, ils se font (et nous font) plaisir avec leurs propres compositions. Une voix, un groupe, l'énergie et l'expérience au service d'un savoureux répertoire maloya rock : Opus Pocus # 8 va commencer très fort...

Miguy Pétrel, chant ; Claude Francesconi, guitare ; Pascal Raymond, claviers, accordéon ; Thierry Labonne, basse ; Didier Dijoux, percussions ; Nini Marguerite, batterie

 

Mandarine + Guests

Béné Maillot a débuté très jeune dans le métier puisqu’à 14 ans elle chantait déjà sur scène avec Dominique Barret. Après avoir accompagné Corneille et Melody Gardot, dont elle fut la choriste diligente, elle joue aujourd’hui sa propre partition dans son groupe, Mandarine. Avec la soul et le jazz pour piliers indéfectibles, Mandarine joue une pop impétueuse et solaire, fougueuse et aérienne. Déjà superbement accompagnée, Béné Maillot nous apporte une Mandarine multivitaminée pour Opus Pocus, avec les invités Di Panda et Queen Favie, présages d’une bonne dose d'urbanité péi.

Béné Maillot, Queen Favie et Di Panda, voix ; Mickaël Beaulieu, claviers ; Pascal Manglou, guitare ; DaHël, basse ; Dimitri Domagala, batterie

 

Marie-Claude Lambert Philéas

Hommage à Gramoun Lélé. Elle a sorti son premier album, Ansoumak, en 2016, mais elle est sur scène depuis l’âge de 13 ans, d’abord dans le groupe familial emmené par l’illustre Gramoun Lélé, son père, puis dans ceux de ses frères. Son groupe, Votia, joue ce maloya de l'est puissant et rapide (et des pièces délicates et profondes, aussi), servi par la voix - quelle voix ! - et la présence - quelle présence ! - de Marie-Claude. Elle chante le répertoire familial à sa manière, et elle ne se prive pas d’y ajouter des instruments traditionnels africains ou indiens, offrant ainsi une autre vie à la musique de Gramoun Lélé. Sur scène, son mari, ses trois enfants, des neveux et des nièces : une affaire de famille, une affaire de transmission. Un lien avec les êtres chers déjà partis, aussi.